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Notre histoire

Maison fondée en 1827

Du cierge à la bougie parfumée, La Boîte à Bougies et la famille Metz ont vécu plusieurs vies. En effet, cette entreprise familiale date de 1827 et, contre vents et marées, a résisté aux évolutions du marché.

En 1980, La Boîte à Bougies fabriquait déjà près d’un million de bougies parfumées par an et fournissait la plupart des grands magasins en France et à l’étranger.

Le père de M. Metz a inventé, dans les années 50, des nouvelles techniques industrielles de fabrication de la bougie, passant ainsi d’une production de 100 kilos à 2 tonnes par jour. Ce nouveau mode de fabrication se répandit dans toute l’Europe d’aujourd’hui.

l’entreprise s’agrandit

L’usine avait été construite en 1890 par Xavier Auguste Metz sur un terrain de 5 ha. Le fondateur, issu d’une famille de ciriers installée à Strasbourg depuis 1827, avait d’abord exploité un atelier situé rue des Orfèvres (centre), dont l’activité fut transférée en 1865 au centre ville 4 rue des Sangliers (actuelle boutique).

Le premier atelier, implanté au cœur de la ville, fut converti en magasin de commerce vendant la production cirière. Le site de Neudorf, initialement utilisé pour le seul blanchiment de la cire, avait été incendié en 1918 ou 1920.
Autour des 2 bâtiments réchappés de l’incendie, de nouveaux ateliers de fabrication avaient été reconstruits en 1918 (avec un magasin industriel et une chaufferie). SARL en 1929, la société change de statut en 1969 et devient SA.

L’usine de fabrication de bougies qui avait vendu ses droits en 1992, date de la cessation d’activité, a été totalement démolie en 1993 pour faire place à un nouvel immeuble (actuel siège social – service comptable et locaux logistiques)

Innovation et croissance

Les procédés de fabrication s’étaient singulièrement diversifiés depuis la création de l’usine. Jusqu’en 1914, usage du procédé de fabrication « à la jetée » avec une production individuelle de 3kg par heure.
Pendant la Première Guerre mondiale, l’insuffisance de la main d’œuvre masculine (considérée comme plus productive) provoqua l’adoption du procédé « à la trempe ». La production passa à 30kg par heure et par personne.

En 1936, la première machine électrique conçue et fabriquée fut mise en service. Metz, bricoleur ingénieux, perfectionnait sans cesse son parc de machines.

Vers 1955, la production était passée à 120kg par heure. En 1969, la capacité d’une seule machine à tremper était de 1000 kg par jour (soit 20.000 cierges).

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